NON RESPECT DE LA DIGNITE HUMAINE : Négligence, Malveillance, Maltraitance ?
- Aucune écoute, aucune empathie
- Abandon des résidents à mobilité réduite dans leur chambre
- Personnel fantôme
- Pas de sortie en extérieur lorsque la météo le permet, pour les pensionnaires à mobilité réduite
- Pas de climatisation dans les chambres (31 degrés en chambre avec ventilateur l'été 2022). Les pensionnaires à mobilité réduite sont restés alités dans la pénombre de leur chambre et non regroupés dans une pièce plus fraîche comme le prévoit la loi (hydratation non contrôlée)
- etc.
L'établissement de Cheval-Blanc N'EST PAS UN LIEU DE VIE MAIS UN MOUROIR où le strict minimum est assuré : nourri-logé-blanchi. Avec des mensualités avoisinant les 3 000,00 euros le « client » est en droit d’espérer une qualité de services et pas seulement des peintures fraîches !
- Les soins de kiné et les activités sociales sont faits seulement si les pensionnaires sont volontaires. Ceci est une belle excuse pour ne pas s'occuper d'eux sur le plan physique et psychologique. Les personnes âgées ont besoin d'être stimulées pour ne pas glisser irrémédiablement, ce n'est pas un secret. C'est ainsi que mon père âgé de 90 ans, fatigué de la vie, qui était arrivé en phase de convalescence suite à une chute, s'est retrouvé après quelques semaines définitivement alité en tee-shirt et avec une couche pour ne plus déranger le personnel lorsqu'il avait besoin d'aller aux toilettes. Tous les repas étaient pris au lit (aucune aide donc fausse route assurée et hospitalisation).
- Sur le plan de l'hygiène, pas de douche mais une toilette au gant. Mon père était occasionnellement et approximativement rasé (nous le faisions bien souvent nous, lors de nos visites hebdomadaires) et il avait les cheveux gras avec des plaques de peaux mortes (ce qui laisse supposer qu'il n'était même pas coiffé)...
Dans ces conditions, où est le RESPECT de la dignité humaine ?
- Malgré nos réclamations, toutes les bonnes résolutions annoncées n’ont malheureusement pas été mises en place ou n’ont pas duré longtemps : Le programme de vie et les projets d’activité n’ont jamais vu le jour.
Après le départ de mon père de l'établissement, nous avons adressé un courrier à la Direction de la qualité de vie de DomusVi. Celle-ci a tout nié !
Témoignage Coronavirus
L'établissement nous a informés par emails des situations sanitaires liées au Covid.
- Aucune écoute, aucune empathie
- Abandon des résidents à mobilité réduite dans leur chambre
- Personnel fantôme
- Pas de sortie en extérieur lorsque la météo le permet, pour les pensionnaires à mobilité réduite
- Pas de climatisation dans les chambres (31 degrés en chambre avec ventilateur l'été 2022). Les pensionnaires à mobilité réduite sont restés alités dans la pénombre de leur chambre et non regroupés dans une pièce plus fraîche comme le prévoit la loi (hydratation non contrôlée)
- etc.
- Les soins de kiné et les activités sociales sont faits seulement si les pensionnaires sont volontaires. Ceci est une belle excuse pour ne pas s'occuper d'eux sur le plan physique et psychologique. Les personnes âgées ont besoin d'être stimulées pour ne pas glisser irrémédiablement, ce n'est pas un secret. C'est ainsi que mon père âgé de 90 ans, fatigué de la vie, qui était arrivé en phase de convalescence suite à une chute, s'est retrouvé après quelques semaines définitivement alité en tee-shirt et avec une couche pour ne plus déranger le personnel lorsqu'il avait besoin d'aller aux toilettes. Tous les repas étaient pris au lit (aucune aide donc fausse route assurée et hospitalisation).
- Sur le plan de l'hygiène, pas de douche mais une toilette au gant. Mon père était occasionnellement et approximativement rasé (nous le faisions bien souvent nous, lors de nos visites hebdomadaires) et il avait les cheveux gras avec des plaques de peaux mortes (ce qui laisse supposer qu'il n'était même pas coiffé)...
Dans ces conditions, où est le RESPECT de la dignité humaine ?
- Malgré nos réclamations, toutes les bonnes résolutions annoncées n’ont malheureusement pas été mises en place ou n’ont pas duré longtemps : Le programme de vie et les projets d’activité n’ont jamais vu le jour.
Après le départ de mon père de l'établissement, nous avons adressé un courrier à la Direction de la qualité de vie de DomusVi. Celle-ci a tout nié !